La peinture de Guillaume Landemaine n’est jamais convenue, elle froisse, elle déconcerte, fait grincer les dents de ceux qui ne cherchent plus ni la modernité, ni de raison d’espérer et attendent les couleurs du désenchantement, les teintes de la routine ou pire, l’éternel mélange des gloses auto-satisfaites : le marron des laborieux commentaires ou la nausée verdâtre de la culture convenue des institutions petites-bourgeoises(...) Comme Baudelaire assommait les pauvres pour leur rendre leur dignité, Landemaine nous opère de la cataracte de la vie au jour le jour pour renvoyer chacun de nous à sa sensibilité, sa liberté, sa différence, à chacun d’en définir la couleur.François Tonniac
Texte complet le 28/12/2007
1 commentaire:
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amitié
tilk
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